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Notre Église : Nouvelle infolettre d’information grand public

Pour souligner le début d’une nouvelle année liturgique et entrer dans la saison de l’Avent d’une manière originale en cette Année de la foi, l’Église catholique de Québec est heureuse de lancer une infolettre grand public : Notre Église.

Publiée pour une première fois le samedi 1er décembre 2012, elle présente deux fois par mois les nouveautés publiées sur notre site Web diocésain. Vous y trouvez des nouvelles, des activités, des articles du blogue, des réflexions pour être bien au fait de la vitalité de notre Église diocésaine.

N’hésitez pas à inviter vos proches à s’abonner à ce nouvel outil : l’abonnement (et le désabonnement) est un jeu d’enfant au www.ecdq.org/infolettres.

Vos commentaires et vos réactions sont bien sûr accueillis afin d’améliorer Notre Église à chaque édition. Nous attendons vos courriels à communications@ecdq.org.

Nouveau : guide d’animation Le partage évangélique

Dans la foi, nous disons du Christ qu’il est le Verbe, la Parole. Cela signifie donc que, lorsqu’on fréquente le livre que nous reconnaissons comme la Parole de Dieu, il ne s’agit pas d’une simple lecture spirituelle, mais bien d’un contact intime avec le Christ lui-même!

Écouter ensemble la Parole proclamée, la laisser faire écho en soi, puis permettre à des frères et à des sœurs de nous nourrir de leur propre résonnance, voilà qui permet une entrée progressive dans l’intelligence des Écritures et d’approfondir par là sa propre relation au Christ. Cet apport réciproque permettra à chacun, chacune des personnes participantes de s’approprier de plus en plus la « langue des évangiles » et de devenir ainsi de plus en plus aptes à prendre la parole pour « rendre compte de leur espérance ». Le partage de la Parole permet aussi aux frères et sœurs qui y participent de développer entre eux une authentique communion fraternelle.

Le guide d’animation Le partage évangélique propose une démarche simple, mais éprouvée pour vivre des temps de partage fructueux, ressourçant, formateurs. Notre archevêque souhaite qu’il devienne une référence pour que naissent partout des groupes de frères et de sœurs qui approfondissent, par ce moyen, leur communion intime avec le Christ-Verbe.

Se procurer le guide

Catholiques dans un Québec pluraliste : nouveau message pastoral de l'AECQ

Tiré du site des évêques du Québec.

« Catholiques dans un Québec pluraliste ».
Un nouveau message pastoral de l’Assemblée des évêques catholiques du Québec

« Le fait de vivre dans une société clairement pluraliste est une situation que les générations précédentes de catholiques québécois n’auraient pas imaginée. Il nous faut donc apprendre de nouvelles manières d’être chrétiens et chrétiennes catholiques dans une société qui ne se reconnaît plus nécessairement en nous. » Tel est le propos du message pastoral que l’Assemblée des évêques diffuse aujourd’hui et qui est intitulé « Catholiques dans un Québec pluraliste ».

Dans une lettre qui présente le texte, le président de l’Assemblée, Mgr Pierre-André Fournier, explique que le message s’adresse « d’abord, bien sûr, aux catholiques du Québec, mais pas seulement à eux » et il ajoute: « À nos concitoyens et concitoyennes qui ne partagent pas notre foi, nous offrons ces pages à titre de contribution à la réflexion collective et à la recherche de voies nouvelles dans lesquelles nous sommes tous ensemble engagés. »

Pour lire le message: https://www.ecdq.org/wp-content/uploads/2016/09/Catholiques_dans_un_Qc_pluralistevo4.pdf

L’Église de Québec bouge

L’année de la foi, qui a débuté le 11 octobre 2012, pour souligner le cinquantième anniversaire de l’ouverture du concile Vatican II, se conclura le 24 novembre 2013 en la solennité du Christ Roi. Cette année promulguée par sa sainteté le pape Benoît XVI n’est pas restée lettre morte pour M. l’abbé Pierre Gingras, curé de la paroisse St- Jean Baptiste. Il met en route un projet pastoral d’une durée de trois ans : L’héritage et les fruits du Concile Vatican II pour se les réapproprier. Ce projet, comme la durée du Concile, se poursuivra jusqu’en décembre 2015.

Dès le 25 octobre, M. l’abbé Gingras convie ses paroissiens à une rencontre avec M. le professeur Gilles Routhier, doyen de la Faculté de théologie et de sciences religieuses de l’Université Laval. Je me sens vraiment privilégiée d’assister à cette rencontre avec cet expert de Vatican II qu’est M. Routhier. Le temps a filé très vite pendant l’entretien d’une heure et demie qu’il nous a donné.

En attendant la conférence, nous pouvions voir défiler sur l’écran différentes photos d’époque : les pères conciliaires, le trône de l’évangéliaire, la procession d’entrée qui se prolongeait sur trois kilomètres, etc. Voici un aperçu de cet entretien.

L’approche employée par notre conférencier : penser Vatican II à partir de la notion d’apprentissage. En quatre ans, les pères conciliaires ont d’abord appris à ÉCOUTER. Ils ont appris en étant là, ensemble, en faisant le Concile, en vivant le Concile.

Après la célébration eucharistique quotidienne, les 2 100 à 2300 évêques se réunissent à la basilique Saint-Pierre de 9 h à 13 h et participent aux 159 Congrégations générales auxquelles s’ajoutent plusieurs sessions solennelles. Chaque matin, la Parole de Dieu est intronisée : elle entre en procession, et est portée solennellement sur un petit autel qui domine l’assemblée. On la dépose ensuite sur le trône de l’évangéliaire où l’on peut lire : In principio erat Verbum, et Verbum erat apud Deum. (Au commencement était le Verbe et le Verbe était auprès de Dieu) Les travaux conciliaires sont placés sous le signe de la Parole de Dieu. Quand le pape vient aux Congrégations générales, il ne s’assoit pas à l’endroit de la présidence. Car ce n’est pas une personne qui préside le Concile, c’est la Parole de Dieu, c’est Jésus lui-même. La Bible est la source, l’inspiratrice du Concile. On l’ouvre à cette page du prologue de Jean : In principio erat verbum… Ce n’est pas par hasard que l’on ouvre la Parole à cet endroit. Qu’est-ce qui est au fondement, au commencement, à l’origine ? Est-ce notre propre parole ? Car les Pères sont réunis en Concile pour dire quelque chose. Mais avant leur propre parole, à l’origine de notre propre parole chrétienne : In principio erat Verbum. Cependant, il n’y a pas cette parole conciliaire sans le premier apprentissage : RÉENTENDRE la Parole. Comment Dieu parle-t-il à cette humanité-là ? Quelle est la Parole de Dieu pour cette humanité ? C’est cela que les Pères doivent reprendre ensuite. Comment redire cette Parole de Dieu à l’humanité d’aujourd’hui ? Alors retrouver ce qui est au fondement, à l’origine ; et ce n’est pas simplement pour arriver à parler. Quand on retrouve ce qui est au commencement et qu’on doit prendre des décisions, c’est un bon critère de discernement. ÉCOUTER la Parole de Dieu pour apprendre à distinguer l’essentiel de ce qui ne l’est pas ; pour discerner entre ce qui est capital dans le christianisme et que l’on doit conserver par-dessus tout et ce qui représente des sédiments ajoutés au fil des âges, ce qui n’a pas la même importance. La Parole de Dieu donne un critère de discernement et elle nous aide à trancher.

Apprendre à ÉCOUTER la Parole, ce premier apprentissage, est ensuite passé dans les textes conciliaires : « il n’y a pas de dispensation des sacrements sans que l’on écoute la Parole de Dieu, on la remet au centre. » et on dit que le Christ est présent dans l’eucharistie d’abord par l’assemblée et par sa Parole. Le premier ministère des évêques et des prêtres, est-il dit dans Vatican II, est d’annoncer la Parole. Et comme les Pères du Concile, on a à refaire cet apprentissage de l’écoute de la Parole.

C’est la première fois, qu’à travers les évêques venant de 116 pays, le monde entier est là « avec ses joies, ses espoirs, ses tristesses, ses angoisses. » Alors, les Pères ont appris également à ÉCOUTER non seulement la Parole de Dieu, mais les clameurs du monde, les requêtes du monde, les cris du monde et il n’y aurait pas eu de Concile sans cela. C’est à partir de cette double écoute et de cette écoute conjointe de la Parole de Dieu et des bruits du monde qui parviennent dans l’assemblée à travers tous les Pères réunis que vient le deuxième apprentissage : APPRENDRE À PARLER. (à suivre)

J’ai bien apprécié cette soirée et je me suis réjouie de voir que la PAROLE de DIEU présidait le Concile.

Fêter la Toussaint avec des enfants ?!

Notre diocèse regorge de belles initiatives à tous niveaux. Parfois, j’aimerais publier un blogue sur toutes celles que j’aime bien. Cependant, je ne ferais que cela tellement nos paroisses regorgent d’activités ! Je vous rappelle donc d’aller consulter notre section « activités » vous y trouverez des activités pour tous les goûts.

Aujourd’hui, j’attire l’attention des familles sur la vigile de la Toussaint. Que vous soyez parents ou grands-parents, je suis persuadée que vos jeunes aimeront aller faire un tour à cette activité surtout qu’ils doivent être déguisés! Et je crois que plusieurs peuvent être interpellés à souligner cette fête qui nous fait découvrir de plus en plus la richesse de la communion des saints et notre appel à tous à la sainteté. C’est un complément ou une alternative à la fête de l’Halloween.

D’ailleurs, si vous manquez d’idées pour votre costume pour l’une ou l’autre des fêtes mentionnées, il y a un site internet fait exprès pour se déguiser en saint ! Vous êtes attendus costumés en saint ou sainte, en ange, en personnage biblique ou vêtu en blanc tout simplement… Alors les familles, on se donne rendez-vous dans une semaine?

Canonisation de Kateri Tekakwitha

Avec quelle joie et quelle fierté le diocèse de Québec s’est joint aux Premières Nations pour souligner de façon remarquable la canonisation de sainte Kateri Tekakwitha, première sainte Amérindienne, de l’Amérique du Nord !

Dès le 15 octobre, en l’église Notre-Dame-de-Lorette, Mgr Denis Grondin, évêque auxiliaire de Québec, préside la bénédiction et le rite d’envoi des pèlerins qui se rendent à Rome pour la canonisation. À cette occasion, M. Jacques Gauthier, spécialiste de Kateri, livre une très belle conférence que vous pouvez entendre sur ECDQ.tv. Samedi 20 octobre, veille de la canonisation, c’est à l’église Saint-Benoît-Abbé que Mgr Gaétan Proulx évêque auxiliaire de Québec, préside une très belle eucharistie où la présence de 75 enfants munis de bandeau amérindien orné de plume rehausse la cérémonie. Merci aux agents de pastorale, Mme Guylaine Morin et Mme Renée Leduc et aux bénévoles qui s’en sont donné à cœur joie pour préparer cette si belle célébration. Bravo pour ce bel engagement !

Pour ma part, faute d’être présente à Rome pour la canonisation, je suis allée à la basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec. Quel bonheur fut le mien de voir plusieurs jeunes affichant sur leur vêtement un insigne à l’effigie de Kateri, participer activement à la célébration eucharistique soit en proclamant la Parole de Dieu, les intentions de prière, soit dans la procession des offrandes !

Les lectures de la messe cadraient très bien au portrait de la nouvelle sainte : Isaïe 53, 10-11; Romains 12, 1-2 et Matthieu 12, 46-50. Mgr Proulx, malgré sa laryngite, nous a servi une très belle homélie en lien avec la Parole de Dieu et Kateri. « C’est avec joie, nous dit-il, que je préside cette célébration en l’honneur de sainte Kateri Tekakwitha, fruit achevé de la première évangélisation en Amérique du Nord… Puis il nous montre, comment la jeune Kateri a répondu à ce souhait exprimé par saint Paul dans sa lettre aux Romains 12, 1 « Je vous exhorte, par la tendresse de Dieu, à lui offrir votre personne et votre vie en sacrifice saint, capable de plaire à Dieu : c’est là l’adoration véritable.». Sa devise n’était-elle pas : Qui est-ce qui m’apprendra ce qu’il y a de plus agréable à Dieu pour que je le fasse? L’évangile de Matthieu 12, 46-50 répond à ce désir profond de sainte Kateri : « Celui qui fait la volonté de mon Père qui est aux cieux, celui-là est pour moi un frère, une sœur et une mère. » dit Jésus. Mgr Proulx nous rappelle ensuite les paroles du bienheureux Jean-Paul II lors des JMJ de Toronto : « La sainteté n’est pas question d’âge, c’est vivre dans l’Esprit-Saint.» Malgré toutes les épreuves qu’éprouva Kateri, poursuivit-il, elle a cherché tout au long de sa courte vie à marcher à la suite du Christ. Puis il brosse une courte biographie de la sainte qui cherchait en tout à faire la volonté du Christ, récitait son chapelet et enseignait les prières aux jeunes. Baptisée seulement à l’âge de 18 ans, un an avant sa mort, elle fait vœu de chasteté. Le 17 avril 1680 à 15 h, elle meurt en prononçant ces mots : Jésus je t’aime. Atteinte de la variole à l’âge de 4 ans, son visage en portait les marques, mais phénomène extraordinaire : 15 minutes après sa mort, toutes ses cicatrices ont disparu, son visage est devenu rayonnant de beauté. C’est le miracle qui a servi pour sa béatification. Tandis que le miracle reconnu par le pape Benoît XVI, pour sa canonisation, c’est la guérison inespérée, en 2006, de Jake Finkbonner, un jeune américain, qui souffrait de la bactérie mangeuse de chair. Ses parents, en priant la bienheureuse, lui mettent une image de Kateri sur son visage, en quelques jours, le jeune recouvre alors la santé. Un miracle est quelque chose d’exceptionnel, ajoute Mgr Proulx, mais rien n’est impossible à Dieu. Ce miracle n’est-il pas un clin d’œil au 1er miracle de Kateri qui a retrouvé sa beauté première après sa mort. Rendons grâce à Dieu pendant cette eucharistie pour les merveilles de Dieu.

À la fin de la célébration, Mgr a béni une icône de sainte Kateri, écrite par Mme Gilberte Massicotte-Éthier pour la Maison Kateri de Sillery qui accueille des jeunes filles du secondaire désireuses de grandir dans leur foi.

Dans son homélie de la messe de canonisation le pape Benoît XVI nous dit : « Kateri nous impressionne par l’action de la grâce dans sa vie en l’absence de soutiens extérieurs, et par son courage dans sa vocation si particulière dans sa culture. En elle, foi et culture s’enrichissent mutuellement ! Que son exemple nous aide à vivre là où nous sommes, sans renier qui nous sommes, en aimant Jésus ! Sainte Kateri, protectrice du Canada et première sainte amérindienne, nous te confions le renouveau de la foi dans les Premières Nations et dans toute l’Amérique du Nord ! Que Dieu bénisse les Premières Nations !»

Puisse sainte Kateri, ce Lys des Mohawks, qui a dû lutter pour conserver sa foi, être un modèle pour tous les jeunes du XXIe siècle !

Canonisation de Sainte Kateri Tekakwitha!

La première amérindienne d’Amérique du Nord est canonisée en ce 21 octobre 2012!

Soirée Kateri Tekakwitha à Québec le 20 octobre 2012 (église Saint-Benoît-Abbé)

Partout à travers le monde, des gens la vénéreront: ils reconnaîtront l’action de Dieu dans l’existence de notre chère Kateri Tekakwitha.

Deux activités à Québec ont déjà souligné ce grand moment pour notre Église. Lundi dernier à Wendake, notre équipe ECDQ.tv était sur place pour filmer la conférence de Jacques Gauthier et l’envoi en mission de notre délégation à Rome (conférence intégrale, reportage).

Le 20 octobre au soir, c’était au tour d’une activité familiale à l’église St-Benoît-Abbé. Une galerie de photos se retrouve sur notre page Facebook.

Une veillée de prière était aussi organisée à Rome à la basilique Saint-Jean de Latran. Notre journaliste Valérie Carrier était sur place (grâce à la collaboration du voyagiste de notre délégation: Incursion Voyages). Notre archevêque Gérald C. Lacroix aussi et il l’a commentée sur sa page Facebook.

Le matin du 21 à 3h30, vous pourrez voir la canonisation de Kateri (et six autres nouveaux saints et saintes) à Rome sur le Web en français sur KTO (en différé ici). Elle sera aussi retransmise à la télévision en version abrégée au Jour du Seigneur à 10h et sur Télévision Sel + Lumière (version intégrale) à 16h.

Je serai à Salut Bonjour Week-end dès 7h pour parler de cette canonisation. Notre archevêque Gérald le fera sur LCN à compter de 10h15. La couverture sur Radio-Canada sera assurée par l’excellent Jacques Gauthier.

Deux célébrations à Québec aussi: 10h à Wendake, 11h à la basilique-cathédrale Notre-Dame de Québec.

Surveillez ECDQ.tv pour d’autres reportages au cours des prochains jours.

En ce dimanche missionnaire, on ne peut demander meilleur témoignage que celui de sainte Kateri. Prions pour son intercession dans nos vies et félicitations à tous nos frères et toutes nos soeurs des Premières nations qui ont bien raison de célébrer aujourd’hui.

 

Première saison de l’Année de la foi… la saison du CRÉDO

L’Année de la foi s’est ouverte chez nous dimanche dernier par une grande célébration en l’église de l’Ancienne-Lorette.

Une année, quatre saisons

En décrétant l’Année de la foi, le Saint-Père nous rappelait qu’elle « devra exprimer un engagement général pour la redécouverte et l’étude des contenus fondamentaux de la foi qui trouvent dans le Catéchisme de l’Église catholique leur synthèse systématique et organique.[1] » Le Catéchisme, dont on souligne le 20e anniversaire, est constitué de quatre grandes sections. Cela nous a inspiré l’idée, pour l’Église de Québec, d’articuler l’Année de la foi en quatre temps, quatre saisons.

1re saison, la saison du CRÉDO

La saison du crédo ira de l’ouverture de l’Année (14 octobre 2012) jusqu’au dernier dimanche avant le carême (10 février).

Elle sera l’occasion de proposer une démarche catéchétique pour adultes ancrée dans la Parole et centrée sur le kérygme, autrement dit le coeur de la foi chrétienne, mettant en évidence comment la croix et son « scandale » (cf. 1Co 1,23) donnent toujours sens à la vie de milliers de disciples du Christ.

Des suggestions à venir

Le comité de l’Année de la foi s’affaire actuellement à formuler ces propositions catéchétiques, auxquelles s’ajouteront probablement quelques pistes d’aménagements liturgiques et une façon symbolique de passer de la saison du crédo à la 2e saison: la saison de la célébration de la foi.


[1] Porta fidei no 11.

Notre participation à la Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté

Le 17 octobre 2012, l’équipe Solidarité sociale et missionnaire a participé à un rassemblement pour souligner la Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté. Ce fut l’occasion de se retrouver entre personnes solidaires pour un monde plus juste et plus fraternel.

Cet événement est organisé par une coalition de groupes sociaux et communautaires de la région de Québec avec lesquels l’Église catholique de Québec s’implique. Le but principal est de conscientiser le plus de gens possible au scandale de la pauvreté qui est présent même chez nous.

Au Québec, 750 000 personnes (1 sur 10) ne couvrent pas leurs besoins de base : se nourrir, se vêtir, avoir un logement salubre, vivre dans la dignité. De plus, des dizaines de milliers de personnes se battent tous les jours pour les espoirs et les aspirations des plus pauvres.

Pour en savoir plus sur l’activité

Réflexions

 

À l’occasion de cette Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté, y a-t-il un passage de la Parole de Dieu qui m’aide à transformer mon regard sur celui ou celle qui vit une situation de pauvreté?

Répondez-y plus bas…


Huguette Labrecque, Yves Bédard et Denise Hamel
Pour l’équipe Solidarité sociale et missionnaire du Service de la pastorale du Diocèse de Québec.

Activités à Québec cette semaine pour souligner canonisation de Kateri Tekakwitha

Ce dimanche 21 octobre, Kateri Tekakwitha sera la première Amérindienne d’Amérique du Nord à être canonisée. Kateri sera reconnue sainte lors d’une célébration à Rome présidée par le pape Benoît XVI. Pour souligner l’évènement, l’Église catholique de Québec propose une série d’activités au cours des prochains jours (disponible sur la page www.ecdq.org/kateri) :

Soirée Kateri Tekakwitha

15 octobre 2012 • 19 h 30 • Église Notre-Dame-de-Lorette, Wendake • Gratuit
Conférence de l’auteur Jacques Gauthier, spécialiste de Kateri

Rite d’envoi et bénédiction, par Mgr Denis Grondin, évêque auxiliaire à Québec, de notre délégation qui se rendra à Rome pour la canonisation.

Célébration intergénérationnelle
20 octobre 2012 • 19 h • Église Saint-Benoît-Abbé, Québec

Avec Mgr Gaétan Proulx, évêque auxiliaire à Québec et le chœur Ad Vitam. Les enfants sont invités à se fabriquer un bandeau amérindien avec une plume.

Messe solennelle à Wendake
21 octobre 2012 • 10 h • Église Notre-Dame-de-Lorette, Wendake

Célébration eucharistique à la basilique-cathédrale (présidée par Mgr Proulx)
21 octobre 2012 • 11 h • Basilique-cathédrale Notre-Dame-de-Québec

Pour vivre la canonisation à Rome avec 1 500 pèlerins du Canada, une délégation du Diocèse de Québec (42 pèlerins) quittera mercredi rejoindre Mgr Martin Veillette, évêque émérite de Trois-Rivières et accompagnateur du groupe. Elle y rencontrera aussi l’archevêque de Québec Gérald C. Lacroix, déjà sur place pour le Synode sur la nouvelle évangélisation. La vidéaste Valérie Carrier de la webtélé diocésaine de Québec sera également à Rome pour cette canonisation grâce à Incursion Voyages (agence de voyages de la délégation diocésaine de Québec). Vous pourrez suivre ses reportages sur www.ecdq.tv. La canonisation de Kateri Tekakwitha sera diffusée au Canada sur Télévision Sel + Lumière le 21 octobre à 16 h.