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Opération « Adopte un milieu de soins »

 

Photo: Cathopic

Présentation

L’Église catholique de Québec démarre un grand mouvement de prière en ces jours de pandémie. Le soutien par la prière se vit depuis longtemps dans notre Église, au quotidien. Tous les efforts collectifs sont admirables pendant cette pandémie, mais particulièrement ceux faits par les proches aidants, les préposés aux bénéficiaires, intervenants en soins spirituels, les employés du milieu de la santé ainsi que ceux et celles qui nous donnent les services de première nécessité. À notre façon, dans l’invisible, nous pouvons être un soutien et montrer notre solidarité auprès de tous ceux et celles qui sont discrètement impliqués pour que les gens dans notre pays se portent mieux.

Description

Vous souhaitez contribuer à l’Opération « Adopte un milieu de soins » : merci! Même en isolement, nous pouvons être ensemble, par l’entremise de ce mouvement de prière diocésain !

Il vous est proposé de choisir dans la liste ci-jointe un établissement de soins à porter dans la prière. Nous lançons le défi aux plus aventureux, aventureuses parmi vous d’en choisir un que vous ne connaissez pas. Les milieux proviennent de partout dans notre grand diocèse.

Voici la proposition que nous vous faisons :

  • Pour qui prier ? Toutes les personnes vivant et travaillant dans ces centres : proches aidants, préposés aux bénéficiaires, intervenants en soins spirituels, employés de la santé tels les infirmières/infirmiers, techniciennes/techniciens, chercheuses/chercheurs, médecins. Pensons aussi à tous ceux et celles qui donnent les services de première nécessité : personnel des cuisines, cafétérias, employés d’entretien, secrétariats, etc.

  • Fréquence de la prière : Si cela vous convient, nous vous proposons de prier deux fois par jour : le matin et le soir. La prière n’a pas besoin d’être très longue. Allez-y spontanément, selon votre inspiration ! Voici quelques idées pour alimenter votre prière.

    • Le matin : Vous pouvez demander au Seigneur qu’il bénisse et veille sur les personnes œuvrant dans l’établissement. Qu’il leur donne la force, le discernement et la patience pour traverser leur journée. Qu’il aplanisse devant elles les difficultés à venir.

    • Le soir : Rendez grâce au Seigneur pour tout le bien qu’ont apporté les personnes qui travaillent dans l’établissement. Demandez-lui qu’elles bénéficient d’un repos réparateur et qu’elles puissent avoir du bon temps en famille malgré la fatigue de la journée. Bénissez-les d’une façon particulière.

  • La durée : Nous suggérons de prier au minimum jusqu’à la fin du confinement. Il vous est toujours possible de poursuivre après… Les personnes qui sont au service de la vie ont toujours besoin de soutien !

  • Quelques petits trucs pour nous aider à inclure cette intention dans notre quotidien : mettre le nom de l’établissement sur le frigo ou sur le miroir de la salle de bain pour nous y faire penser.

  • Votre salaire : « Ton Père qui voit dans le secret te le rendra. » (Mt 6, 6) Recevez aussi toute notre gratitude pour avoir embarqué dans ce projet avec nous !

Un grand merci ! Votre implication priante est aussi une façon de construire le Royaume de Dieu dès maintenant.

Une initiative de l’équipe des Services diocésains de l’Église catholique de Québec

 

Liste des établissements au format PDF

 

La transition énergétique : les travailleurs et travailleuses font partie de la solution

Voici le message du 1er mai 2020, préparé par le conseil Église et Société de l’AECQ en collaboration avec des membres de la Table provinciale de pastorale sociale. À forte teneur écologique, il est publié le 22 avril 2020, Jour de la Terre.

La transition énergétique : les travailleurs et travailleuses font partie de la solution

Un vaste mouvement collectif s’est développé au cours des dernières années afin de promouvoir des actions de protection de l’environnement. L’Église du Christ se sait appelée à en faire partie. En ce 1er mai 2020, à l’occasion de la fête internationale des travailleurs et des travailleuses, nous voulons porter notre attention sur les conditions de la transition énergétique et ses impacts sur la vie des gens ordinaires, notamment les travailleurs et travailleuses, ainsi que sur les plus pauvres de notre société. La pandémie de la COVID-19, à laquelle nous faisons face, ne rend que plus urgent l’engagement pour une transition énergétique juste. En effet, le système socio-économique actuel a participé à la propagation du nouveau coronavirus et la transformation de ce système pour plus de justice doit être une priorité lors de la « relance » qui suivra la crise.

Si la sauvegarde de la Terre, notre maison commune, fait partie de la perspective biblique, il faut admettre que les Églises chrétiennes ont tardé à faire des préoccupations écologiques un élément constitutif de l’annonce de l’Évangile et de l’éthique chrétienne. Maintenant que l’on parle de plus en plus de la nécessité d’un « virage vert », de nombreux mouvements citoyens appellent à une « transition énergétique » qui exige une conversion écologique de nos habitudes personnelles aussi bien que de notre système économique et de nos politiques gouvernementales. Le but de ces appels est d’assurer la continuité d’une vie heureuse sur la Terre, en prenant soin de la création pour nous, pour les personnes appauvries et pour les générations futures. Il n’y aura point de transition énergétique véritable sans solidarité internationale.

Avec le pape François, « nous savons que les choses peuvent changer » et nous souhaitons « saluer, encourager et remercier tous ceux qui, dans les secteurs les plus variés de l’activité humaine, travaillent pour assurer la sauvegarde de la maison que nous partageons. Ceux qui luttent avec vigueur pour affronter les conséquences dramatiques de la dégradation de l’environnement sur la vie des plus pauvres dans le monde, méritent une gratitude spéciale. » (Encyclique Loué sois-Tu (Laudato Si’), 24 mai 2015, 13).

Au Québec, plus de 400 municipalités, représentant près de 80% de la population, ont signé la Déclaration citoyenne universelle d’urgence climatique (DUC) et plusieurs sont déjà à l’œuvre dans l’un ou l’autre des chantiers associés à cette déclaration. Plus de 285 000 personnes ont signé le Pacte pour la transition, s’engageant à réduire leur empreinte écologique et de carbone, et le 27 septembre 2019, plus de 500 000 citoyens et citoyennes prenaient part à la plus grande manifestation de l’histoire du Québec. Plusieurs communautés chrétiennes (paroisses, diocèses, communautés religieuses) ont aussi pris des mesures pour une conversion écologique, notamment en lien avec le Réseau des Églises vertes. Tous et toutes, nous faisons partie du problème et nous voulons faire partie de la solution. Cependant, les moyens retenus pour opérer la conversion écologique doivent tenir compte des modifications qu’elle exige, qui peuvent affecter le monde du travail (transport, fabrication), l’augmentation des prix à la consommation, la reconversion professionnelle, etc.

Des groupes seront plus touchés que d’autres par ces transformations, que ce soit en raison de la transition énergétique à vivre ou de l’amplification des conséquences de la crise écologique elle-même. Collectivement, nous avons des responsabilités envers les travailleurs et travailleuses d’industries en déclin ou en transformation, comme par exemple la foresterie, les pêcheries et le secteur de l’énergie; envers les personnes délogées par les désastres naturels ici et ailleurs dans le monde; envers les personnes qui cultivent la terre, vivant au gré des éléments et des accords commerciaux. Seul un effort solidaire et des mesures de transition progressive pourront faire en sorte que les personnes les plus vulnérables ne soient pas celles qui sortiront appauvries par ces transformations.

Des changements sont possibles si nous abandonnons de vieilles habitudes pour adopter de nouvelles façons de produire et de consommer, en éduquant les personnes et en prenant soin de celles qui entrent plus lentement dans une autre manière d’organiser la vie. Ces transformations sont l’occasion de créer du neuf : des municipalités plus dynamiques et plus vertes; des campagnes aux sols revitalisés et aux activités diversifiées; des circuits de transport plus courts pour livrer les biens de consommation courants; des transports publics efficaces et abordables dans toutes les régions du Québec; des bâtiments rénovés plus écologiques; des centres-villes dont la densification soit plus responsable, et attentive à la marginalisation des personnes appauvries; une économie moins dépendante des énergies polluantes et non-renouvelables; des services publics plus ajustés aux besoins locaux; une société plus accueillante pour les personnes déplacées et plus inclusive des diverses contributions citoyennes.

Jésus a affirmé : « Je suis venu pour que les gens aient la vie, et que cette vie soit abondante » (évangile selon saint Jean, 10,10). Ses attitudes et ses actions envers les personnes inspirent encore aujourd’hui un appel à la conversion et annoncent l’instauration d’une Terre nouvelle où les humbles sont élevés et les puissants, renversés de leurs trônes (évangile selon saint Luc, 1,51-53). Face à l’urgence climatique, nous sommes fondamentalement devant des enjeux de salut et de vie. C’est pour cela que la communauté croyante catholique ose dire : Que les changements dans lesquels nous sommes engagés ne laissent personne derrière!

Ce message a été produit par le Conseil Église et Société en collaboration avec la Table provinciale de pastorale sociale.

Questions pour aller plus loin :

  1. Sur quel aspect de la transformation énergétique vous engagez-vous déjà, individuellement? Sur lequel souhaitez-vous agir?

  1. Quelles interventions écologiques votre communauté chrétienne a-t-elle mise en œuvre? Par exemple, votre paroisse appartient-elle au Réseau des Églises vertes?

  1. Faites-vous partie des groupes ou des personnes à risque dans cette transformation énergétique? Si oui, de quelles solidarités avez-vous besoin?

Quels sont les groupes ou les personnes à risque dans votre milieu, et comment en être solidaire?

  1. Selon votre expérience, quel état d’esprit est le plus favorable pour faire face aux défis que vous entrevoyez? Comment le développerez-vous?

Neuvaine à la mémoire des fondateurs de la foi en Amérique, édition 2020 sur internet

Du 30 avril au 8 mai, vous pourrez vivre notre neuvaine annuelle des fondateurs, en vidéos, sur le site Internet de la paroisse NDDQ.ORG.

Vous pourrez aussi consulter de la documentation afin de pouvoir méditer sur la vie et l’histoire de nos fondateurs.

Quatre grandes célébrations eucharistiques seront diffusées sur ECDQ.TV

Voici l’horaire des célébrations:

  • 30 avril à 19 h 30 – Sainte Marie de l’Incarnation – Mgr Marc Pelchat
  • 3 mai à 10 h 00– Saints Martyrs Canadiens – P. Marc Rizzetto, s.j.
  • 6 mai à 19 h 30 – Saint François de Laval – Cardinal Gérald C. Lacroix
  • 8 mai à 19 h 30 – Bienheureuse Marie-Catherine de Saint-Augustin – Mgr Martin Laliberté, p.m.é.

De chez vous, vous pourrez méditer sur de courts écrits de ces modèles audacieux soit :

  • en le téléchargeant le livret d’accompagnement en format PDF sur les sites internet mentionnés ci-dessous.
  • en suivant les courts vidéos quotidiens sur Facebook et Twitter des différents centres organisateurs.

Peu d’endroits dans le monde offrent la possibilité de célébrer dans le cadre d’une même neuvaine plusieurs grands modèles de la foi. La ville de Québec est en ce sens une ville sainte : nous y retrouvons dans l’espace d’à peine un kilomètre, les lieux mémoires de la bienheureuse Marie-Catherine de Saint-Augustin, de sainte Marie de l’Incarnation, de saint François de Laval et des saints Martyrs canadiens. Il faut rendre grâce à Dieu pour ces fondateurs qui ont osé porter, en cette terre d’Amérique, la foi qui nous anime encore aujourd’hui.

La pandémie et la guérison du corps social

Voici un message préparé par les membres du conseil Église et Société, de l’Assemblée des évêques catholiques du Québec : Mgr Marc Pelchat, président, Mgr Claude Hamelin, Mgr René Guay, Mme Sabrina Di Matteo, Mme Émilie Frémont-Cloutier, M. Frédéric Barriault, M. Simon Labrecque.

La communauté humaine, à l’échelle mondiale, est affectée depuis plusieurs mois par la propagation d’un mal sans précédent à notre époque. La collectivité québécoise se trouve, elle aussi, frappée de plein fouet par la pandémie du nouveau coronavirus. Mises à pied massives de travailleuses et de travailleurs, fermeture temporaire ou définitive d’entreprises, baisse radicale de l’activité économique, confinement des personnes vulnérables, isolement social, efforts supplémentaires demandés au personnel soignant, difficulté de maintenir les services aux personnes âgées, à celles itinérantes et aux plus démunis, sans oublier le décès de plusieurs personnes atteintes par la contagion et les deuils à vivre ensemble : autant d’aspects d’un temps de crise qui nous met à l’épreuve, mais qui se révèle aussi un moment de grande solidarité sociale.

Dans ce contexte, la population croyante a renoué avec la vie de « l’Église domestique », la vie chrétienne dans nos foyers, en maintenant autant que possible les liens entre nous par divers moyens. L’Église catholique au Québec a cherché à se montrer solidaire de la population québécoise. Nos communautés sont attentives aux personnes qui souffrent davantage de la situation, notamment les personnes qui ont perdu leur emploi. Plusieurs employés des institutions ecclésiales partagent la condition des centaines de milliers de personnes en chômage. Plusieurs d’entre elles se sont engagées dans l’action bénévole afin de maintenir la capacité des organismes communautaires à offrir leurs services. Tous et toutes, nous anticipons le retour à la vie régulière et la reprise des activités normales. Plusieurs d’entre nous partagent en même temps la conviction que cette situation exceptionnelle contient un appel au changement, à partir des nouveaux comportements dont nous avons fait l’expérience depuis quelques semaines.

La présente crise affecte nos modes de vie, notre rapport au travail, nos attitudes face à la consommation, nos relations familiales et sociales, et même notre rapport à la mort. Voici venu le temps de réfléchir à nos valeurs profondes, à notre sens de la fraternité humaine, à notre capacité d’entraide entre les groupes sociaux, à l’inégalité des conditions de vie, ainsi qu’à l’impact dévastateur des changements climatiques reliés à une croissance économique sans frein et à une exploitation démesurée des ressources. Nous sommes placés devant nos responsabilités les uns à l’égard des autres.

Le coronavirus sert de révélateur des limites de notre système socio-économique. La solidarité sociale que la propagation de la COVID-19 a réveillée chez plusieurs d’entre nous apparaît comme une réaction en chaîne qui pourrait transformer durablement notre vivre-ensemble. Ainsi, a-t-on vu se réaliser des ententes de temps partagé entre les travailleurs, des manifestations d’un authentique souci des employeurs pour leurs employés, d’entreprises se plaçant au service des besoins de la société pour s’adapter à la production de biens essentiels, d’initiatives de collaboration entre les entreprises et les groupes communautaires.

Nous avons aussi été les témoins des grands efforts consentis par les gouvernements pour adapter ou créer des programmes économiques au service des besoins des personnes. Les pouvoirs publics et les acteurs économiques sont parvenus à mettre en place des mesures pour instaurer, au moins provisoirement, l’équivalent d’un système de revenu minimum garanti. Les différents programmes de subvention salariale sont venus pallier les pertes de revenus des personnes privées d’un emploi en raison de la COVID-19. La présente crise devient ainsi l’occasion de réfléchir à la mise en place durable d’une formule de revenu minimum garanti pour tous les citoyens. Des mesures incitatives pour soutenir l’emploi doivent aussi faire partie du coffre d’outils en dehors des périodes de crise. Il y aura un « après » à la crise actuelle de santé publique, qui devient aussi une crise de santé sociale et économique. Il ne faudra pas négliger, le moment venu, les transformations du système qui nous sollicitent, car l’économie et la santé sont étroitement reliées.

La présente catastrophe sanitaire entraîne des effets socioéconomiques négatifs tout en suscitant les adaptations de système et des solutions inventives. Elle nous montre également que ces effets négatifs affectent davantage les couches de population les plus fragilisées et creusent les inégalités sociales, ce qui aura des conséquences à long terme sur la santé publique. Cela nous interpelle. Nous devrons continuer à porter ces questions en cherchant à y répondre.

Un cercle de vie a commencé à poindre au creux de cette crise : agissons en sorte que tout ce que nous apprenons en ce moment, en construisant une plus grande solidarité sociale, perdure dans le temps. Notre société en est capable et elle en a fait la preuve.

Au cours des dernières semaines, l’Église au Québec a été plus effacée en raison du respect des directives sanitaires qu’elle a accepté de s’imposer, comme beaucoup d’autres institutions. Nous avons voulu être au diapason d’une société placée en pause et retenant son souffle. Mais l’Église n’a pas cessé et elle ne cessera pas d’accompagner, par le soutien spirituel et la solidarité effective, ceux et celles qui souffrent davantage de la crise sanitaire et des bouleversements économiques qui en découlent. Continuons d’avancer ensemble pour réaliser une société plus solidaire et une véritable civilisation de l’amour!

Sessions de préparation au mariage durant la période de la COVID-19

Aux curés, prêtres modérateurs et administrateurs,
Aux répondants paroissiaux de la préparation au mariage
Aux personnes responsables des différentes formes de préparation au mariage,

Bonjour,

La situation que nous vivons actuellement nous amène à trouver de nouveaux moyens pour aider les couples-fiancés à se préparer à leur mariage. Plusieurs sessions de préparation au mariage ont été annulées. Comme il est fortement recommandé de vivre une démarche pour se marier et qu’il pourrait y avoir des célébrations de mariage plus tard cet été, l’Église se doit d’offrir un accompagnement particulier à ces couples.

Vous avez peut-être déjà trouvé des solutions, c’est super !

De notre côté, nous avons deux possibilités par Web à vous proposer :

  • Session de préparation au mariage : « Projet de vie à deux »

Nous avons adapté le matériel de la session « Projet de vie à deux » offerte par le service couple-accompagnateur. Habituellement, nous utilisons ce parcours pour les couples-fiancés qui ne peuvent suivre les sessions de groupe de préparation au mariage.

Le parcours comporte cinq rencontres via la communication Web. Une sixième rencontre, optionnelle est suggérée, afin d’échanger en personne dans une rencontre de groupe avec les couples sur ce qu’ils auront vécu lors de leur mariage.

Cette session peut être animée par des couples chez qui vous discernez un charisme pour rendre ce service, ou par des membres de l’équipe pastorale. Tout le matériel peut être envoyé aux couples-fiancés par courriel, ou imprimé et envoyé par la poste.

Pour information et / ou pour recevoir le matériel, communiquez par courriel à mariage@ecdq.org

  • Session de préparation au mariage : « Parcours Alpha-Duo »

Les membres de l’équipe Alpha-Duo ont adapté leur animation pour vivre les rencontres par « Session Zoom » avec les personnes animatrices, et la possibilité d’interagir avec les autres couples à certains moments.

La session de préparation au mariage se vit en 6 soirées. Elle aura lieu du 6 mai au 10 juin 2020, les mercredis soirs à compter de 19h.

 

Pour information et/ou inscription, contactez l’abbé Bruno Allard au 418-955-4452.
L’équipe de la pastorale du mariage
Carole Harrison et Lorraine Demers

Ressourcement interactif par l’équipe de la Villa des jeunes

La Villa des Jeunes offre un temps de ressourcement interactif pour Pâques et les jours suivants, avec une vidéo / bande-dessinée qui s’adresse aux ados, mais aussi aux enfants et aux adultes à partir du récit d’Emmaüs.

Rendez-vous ici, avec l’animateur Jérémie Laliberté : https://www.youtube.com/watch?v=pciGNJ0Ia3Y&feature=youtu.be&fbclid=IwAR1I5qvWLX6J9GBvzTkuUfga40YgkV30s670nYm92hgvqNlIaeF4NaThC5w 

#ToujoursPâques : Faisons rayonner les traces de Pâques dans nos vies

Il y a 2000 ans, la résurrection de Jésus Christ transformait l’humanité. Pâques, c’est une perspective nouvelle sur l’éternité qui éclaire fondamentalement notre vision de la vie. Pâques, c’est aussi une grande lumière pour notre existence de tous les jours : la vie est plus forte que la mort, et cela concerne chacune des épreuves que nous affrontons. Une conviction qui nourrit l’espérance de millions de chrétiens et chrétiennes, en ces temps difficiles de pandémie.

Quelles sont les effets, les impacts, les manifestations de la Résurrection dans vos vies? Comment la Résurrection influence-t-elle votre façon de vous engager? Nous voulons vous entendre! 

Nous lançons le mot-clic #ToujoursPâques. Il pourra servir « d’étiquette » pour identifier vos publications sur les réseaux sociaux, lors de ce temps pascal 2020.

L’Église catholique de Québec utilisera aussi #ToujoursPâques pour faire circuler des initiatives porteuses, des réflexions stimulantes, des échos de nos communautés chrétiennes qui se mobilisent actuellement.

Oui, 2000 ans plus tard, c’est #ToujoursPâques !

 

Vous voulez revivre les célébrations pascales offertes par notre archevêque, le cardinal Lacroix? Rendez-vous sur : www.ecdq.tv 

Cette homélie de Pâques est définitivement à voir et partager : https://www.ecdq.tv/homelie-2/ 

Voyez aussi le message de Pâques de notre évêque auxiliaire Marc Pelchat.

https://www.ecdq.tv/message-de-paques-de-notre-eveque-auxiliaire-marc-pelchat/