Il faut se le dire… organiser une visite papale requiert un travail d’équipe phénoménal! L’Archevêque de Québec, avec de nombreux co-pilotes, est en charge de la portion québécoise de la visite. Soutenus par l’équipe nationale mise en place par les évêques du Canada, les membres du comité local sont résolus à faire de cette expérience un succès qui porte fruit.

Le cardinal Gérald Cyprien Lacroix confie ses attentes dans cette capsule, première d’une série qui permettra de découvrir quelques acteurs et actrices qui oeuvrent en coulisse, du côté de Québec. Ceux-ci expliqueront leur contribution, leur motivation, leurs espérances face à cette visite historique du Pape.

 

Écoutez Valérie Roberge-Dion, directrice des communications à l’archidiocèse de Québec, résumer quels défis ce projet présente sur le plan des communications. Elle confie aussi son espérance : que des fruits concrets émergent de cette nouvelle étape dans la marche avec les communautés autochtones.

 

Le diacre Benoit Thibault est responsable du comité de coordination de Québec. Habituellement basé à Montréal, il met bénévolement à contribution sa grande expérience, pour le succès des préparatifs. Sa mission? Faire en sorte qu’il soit bon de marcher ensemble avant et pendant cette visite papale!

 

Denis Coderre devient un ambassadeur de l’équipe de la visite papale pour le volet financement. L’ancien maire de Montréal et consultant s’est joint bénévolement au comité organisateur. Il sollicitera des partenaires éventuels qui pourraient contribuer à financer la visite du Pape. Bien connu au Québec, M. Coderre concentrera son action dans l’est du pays. Il est fier de soutenir le processus de guérison et réconciliation, particulièrement sensible à la construction de ponts entre les communautés autochtones et la société dans son ensemble.

 

Avec Assunta Bouchard, vice-rectrice au sanctuaire Sainte-Anne-de-Beaupré, découvrez comment la préparation se déroule actuellement dans ce lieu. Elle confie également combien elle est touchée par la grande foi des pèlerins autochtones qui fréquentent cette basilique dédiée à la « grand-maman sainte Anne ».