Pour le 1er mai, la journée des travailleurs, l’Assemblée des évêques de l’Église catholique du Québec veulent qu’on pense à la dignité de toutes les personnes, surtout celles qui sont migrantes.
Même si de plus en plus de pays ont tendance à se refermer, l’Église rappelle que les migrants apportent beaucoup à notre société.
Cependant, les migrants rencontrent souvent de grosses difficultés et injustices dans leur terre d’accueil : par exemple, des permis de travail qui les bloquent avec un seul employeur, de très longues attentes pour ceux qui demandent l’asile avant d’avoir le droit de travailler, leurs diplômes ne sont pas reconnus, et il y a moins d’aide pour apprendre le français.
L’Église dit que c’est faux de blâmer les migrants pour nos problèmes (comme le manque de logements ou les urgences bondées). On ne doit jamais les utiliser comme des boucs-émissaires ou simplement les voir comme un outil pour l’économie.
Au lieu des préjugés, il faudrait se soucier sincèrement de la dignité de chaque personne. L’Église dit qu’il faut plutôt les accueillir, les protéger, les aider à se développer et les intégrer dans la société.
Ce que nous pouvons retenir de cette journée, c’est de toujours traiter chaque personne avec dignité. Consulter le message au complet ici.